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The great disaster

Spectacle « The great disaster » de Patrick Kermann par la Cie « Il va sans dire » dans le cadre de l’Isle en Scènes.

Vendredi 10 novembre à 20h à la salle des fêtes

Par la Compagnie Il va sans dire

  • Porteur du projet et jeu : Olivier Barrère

  • Mise en jeu : Aurélie Pitrat

  • Scénographie et technique : Erick Priano

  • Collaboration artistique : Marion Bajot

Entrée 10€ / réduit 5€ (réservation souhaitée 04 90 38 67 81)

Olivier Barrère aime raconter des histoires, qu’il enchâsse dans des scénographies, susceptibles d’éclairer les récits. Sous le regard extérieur d’Aurélie Pitrat et Marion Bajot, enveloppé dans les sortilèges lumineux d’Eric Priano, l’acteur active une invitation au voyage qui déplace les spectateurs.

A ce titre The Great Disaster devient un voyage dans l’Histoire et une équipée à travers la magie du théâtre.

 

14 avril 1912 à 23h40, le Titanic coule avec, à son bord, Giovanni Pastore, engagé comme plongeur du restaurant des premières classes. Giovanni a coulé, mais – injustice - il n’est pas compté parmi les victimes. Il est oublié. The great disaster nous raconte son trajet de vie et de mort.

Après une quinzaine d’années d’errance à travers l’Europe, il allait enfin faire le voyage jusqu’aux Etats-Unis. Il avait quitté son Frioul natal, sa jeunesse, son premier amour, son village et ses légendes familiales, happé par un désir d’ailleurs, une pulsion de vie, une volonté d’agir. Du fond de la mer, il nous livre son histoire. Celle aussi d’un monde qui s’éteint et d’un autre qui naît.

Patrick Kermann propose une partition, un poème à scander, une langue jubilatoire et vivante, un récit vivifiant mais aussi un temps de partage et de réflexion sur les choix de vie et le cours des choses.
En une dizaine de séquences, sont abordés les certitudes et les aveuglements des savants et ingénieurs, le passage à l’âge adulte, la migration (européenne), l’assujettissement au travail, les inégalités sociales. Et puis, bien sûr, la mort.

 

www.michel-flandrin.fr

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